« Ça paye au bout du compte ! Je ne regrette rien. »
Je suis presque à la fin de la culture psycho-sensorielle Quertant ; je suis passée par diverses étapes au cours des mois. J’ai d’abord ressenti des petites choses intérieures, infimes. Je ne comprenais pas comment en rééduquant le système nerveux, on pouvait changer sa façon de voir et de ressentir les choses de la vie courante. Et pourtant, c’est vrai. Par exemple : dans une situation particulière, je voyais nettement qu’auparavant, j’aurais pris tel chemin ou telle décision ou j’aurai eu telle réaction ; et désormais c’était une nouvelle voie qui s’ouvrait à moi, je voyais les choses différemment. J’ai fait de grands progrès en ce qui concerne le rougissement, qui est maintenant plus rare, moins profond, plus diffus, parce que je ne me sens plus concernée par les événements extérieurs, je sais faire la part des choses : ce qui me concerne, ce qui concerne les autres. Un jour, alors que je sentais le rougissement monter, je suis allée me regarder dans la glace et j’ai constaté que c’était très léger, alors que mon impression était différente. […] J’ai toujours été très constipée ; aujourd’hui, ma tête est libérée de ce problème. La culture psycho-sensorielle Quertant demande un investissement en temps, en énergie et en argent. Il faut de la rigueur, de la constance, mais qu’est-ce que ça paye au bout du compte ! Je ne regrette rien.